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| Ana Kimov, l'eau du chaos | |
| Auteur | Message |
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Messages : 4 Date d'inscription : 15/04/2013
| Sujet: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 13:59 | |
| vos infos | Ana Kimov. 26. Biélorusse. 12/02/1987. Contrôle de la végétation ▬ Permet de se faire obéir et comprendre les fleurs, lianes, et autres végétaux.
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i'm inexistent
Déplaisant. Le physique est, selon ma vérité, le reflet des craintes de sa conscience dans son éternel combat avec son inconscience créative, ce qui m’orne de parures bien superficiels, bijoux en os, en bois, en acier, tatouages aux encres variées. Couvert de tissus de lin léger, aux teintes sombres et sobres, j’apprécie au mieux les sensations qu’ils m’offrent bien que je passe aussi aisément de la jupe aux jeans et autres bas solides qui procurent une coquille à mes gambettes peu frêles. C’est le plumage d’une chaire marqué, des tatouages en forme de lames ondulantes au gré de mes formes parcourent mon corps du bassins jusqu’au menton, des entrelacs, dont le cheminement n’est dicté par aucune règle, viennent mourir sur mes phalanges naissant de mes poignets parcourant la quasi intégralité de la zone contaminée. Vierge des fantaisies dominatrices mon torse, sans aucune encre, laisse paraître mes côtes de façon discrète mais suggestif quand au rappel de notre squelette crissant. Dans le dos un crâne aux morceaux incertains baigne dans une croix d’entrelacs tout aussi libres d’évolutions. Les festivités repartes des fesses, une couleuvre informe part de chaque côté s’enroulant jusqu’à chacune de mes chevilles. En dessous de ce qui me sert d’œil droit gît une marque fuyante sur la joue d’une plume dont l’encre c’est inscrite violemment sur mon visage en balafre imaginaire. Toutes ces vicissitudes ont pour toile une peau à peine bronzé par les longues escapades. Le noir et ses dérivés d’ocres s’ajustent au mélange vert, bronze et gris de mes yeux. Mes lèvres sont aussi pulpeuses que mon envie de croquer dans cette vie. Tout cela paré d’un nez bien droit à peine relevé, jamais brisé. Les piercings que je possèdent ne dépassent que très peu, les cartilages, les lobes stretché, nasallang, septum et labret fer à cheval décalé représentent une menotte à notre carcasse animé qui croit se défaire de l’illusion dont elle est emprunte. Divers couvres-chef viennent s’asseoir sur ma chevelure non organisé mi courte et d’un brun tirant sur le noir. Je me le démêle juste du bout des doigts pour éviter les nœuds qui sont très problématiques une fois enlacés avec des ronces frivoles. Je me pare d’objets lourds comme de chaînes qui me servent accessoirement de ceinture agrémentés de cadenas qui les ferment. Je m’en sers parfois en collier, une représentation de la pénitence pour notre existence mais leur praticité laisse peu d’occasion d’exprimer ce pardon personnel offert à tous. On trouve au fond de mes poches des cartes ainsi que sur mes chapeaux, les cartes sont une manière fort sympathique d’abandonner ses actes à un repli sur soit en détente très agréable, c’est pour cela qu’elles pavoisent souvent mon accoutrement, fossiles des mes incalculables parties. Après cela vous n’arriviez pas à me reconnaître, j’aurais pour seul conseil de ne jamais croire ce que l’on voit. ---------------------------------------------------- Si de son dernier nom, Ana, il n’accorde aucune importante, il en va de même pour toutes les unités administratives et normes sociales. Les habitudes, naturelles au prenant, ne sont pas une négation pour lui. Au contraire, toutes formes d’ordre établi représente l’ennemi à sa preuve de la non existence, en tant que tels, ils méritent donc d’être détruit. Dans les jeux de rôles ont définis cette absence de code par un code « Chaotique neutre ». Cette notion d’ordre lui échappait totalement lors de sa croissance, mais quand elle lui tomba dessus comme l’aveugle devenu voyant mais n’ayant pour vision que le soleil, il du apprendre à la comprendre pour la combattre. Ce combat contre toute forme d’ordre et d’organisation consciente était lui même dénué de méthodisme, c’était pour ça qu’il arrive à le mener. Son plus grand plaisir est d’incarner le déni de l’existence, le reste a une valeur totalement neutre qui peut l’émouvoir comme le laisser dans un profond désintérêt. Tout est changement, évolution : sa lassitude, ses tristesses, son engouement… Sa seule constance est l’amour de sa haine de l’ordre. C’était un garçon qui peut être ce que l’on juge de charmant tel que le jugement se transformait parfois en peur méprisante. Il est tout à fait sociable, il ne méprise pas les gens acoquinés à ce monde de règles, il est même assez doux, mais peut changer du tout au tout, la douceur étant une notion parfois très subjectives pour certaines personnes, ce côté instable dans ses manières d’être suscitent des interrogations et des peurs aux personnes qui ont l’occasion de le côtoyer plus d’une fois. Exultant, sa joie de vivre semble être bien plus profonde que le masque dont elle est déjà le reflet. Cet appétit de vie et de liberté représentent une énergie inépuisable qui le pousse à combattre l’autorité, se défaisant des contraintes morales. C’est la réponse à sa nature insaisissable dans un caractère indéfinissable. Ah, si, j’oubliais, dans sa constance à l’opposition face à l’ordre, l’existence n’est pour lui qu’une réponse à un besoin que l’ordre créer. La terre mère est un concept qui lui semble familier, dans la représentation de ceci qu’il se fait en digne fils, il cherche à rétablir l’instinct imprévisible qui s’écoule dans le concept de non existence et qu’offre l’évolution naturelle, il est donc le défenseur de celle ci qu’il considère comme une parente. Avec ces quelques lignes, j’espère que vous comprendrez mieux ce qu’on ne cherche pas à comprendre.
il était une fois, cursed dream et vous... « Ahahahaa ! » un rire que connaissait pour ses plus étranges cauchemar Grégoire vint retentir dans son appartement. C’était sans réelle surprise, cette voix, elle retentissait n’importe quand, avec le temps, il l’avait retenue. Certains de ses cauchemars, de ses insomnies d’angoisses et de questionnement étaient le fruit de celle ci. Les pas se rapprochait. Sa chaise crissa quand il se leva poussant celle ci pour s’extraire de son bureau, sa posture voûté lui fit mal quand il fut complètement relevé. La douleur a oublié, il savait ce qu’il devait faire.
Les mois étaient passé depuis leur dernière rencontre, il se dirigea vers l’entrée de son salon, quelques déchets négligés jonchaient le sol, les mois passaient partout, l’intrus arriva à portée de bras du propriétaire. Ce dernier se jeta presque sur lui pour l’enlacer, sans un mot. Avec cet énergumène, c’était un mélange d’instinct et de réaction incroyable à chaque instant, il fallait le suivre dans son comportement pour l’apprécier. D’ailleurs, Ana semblait bien passif à cet accueil.
« J’avais envie de voir ce que Rien ne devenait. »
Grégoire le lâcha pour faire des pas insouciant, sans lui répondre. Parfois, il valait mieux adopter un langage différent, celui d’une gestuelle nonchalante lui paraissait bien adaptée. Il fixait la seule vitre de son salon, un vieux vitrage qui donnait sur l’hôtel de ville de cette petite cité française. Il s’arrêta. Son regard ne bougeait plus, il tendait l’oreille aux mouvements derrière lui. Rien.
« Je ne veux pas que tu me prouve quoi que ce soit. L’ignominie me fait passer par ici, je m’arrête, me dis qu’il reste un homo sapiens avec lequel j’ai l’impression d’avoir côtoyé de bien nombreuses fois. Je veux juste avoir de tes ressentiments. Ce sont des sons doux de mère. »
Il était presque attachant quand il n’était pas son bourreau. Il fallait qu’il se débarrasse de ses préjugés, il ne servait à rien. Surtout pas avec lui. ‘Soit toi, même si tu n’existe pas’ se dit-il. Il se retourna et s’assit sur le rebord d’un de ces canapé. Vieux, poussiéreux et marron.
« Avec toi tout me semble si lent. Rien, je ne suis rien, je ne sais même pas si tu as conscience que je te parle. Je suis moi. Je suis moi. Je te parle. C’est pas à toi que je dois prouver des choses, c’est à moi, à cause de toi, mais toi, tu es moi. »
Grégoire butait sur certains mots mais restait malgré tout très assuré quand il parlait. En même temps qu’il cherchait ses mots pour le garçon qui semblait se tenir devant lui, ses pensées étaient vides.
« Je fais des petites choses pour maintenir un tas de carbone probable. Ce que j’ai dans la tête, tu me l’as mit parce que je suis capable de les assimiler, alors c’est peut être simplement moi qui me les suis mise dans ce fichu crâne, malgré tout, ça ne change quasi rien, je veux oublier la réponse, pas la protéger. Donc je vis. »
L’intonation de sa dernière phrase montrait clairement son doute sur cette affirmation. Ana posa l’épaule sur le seuil du salon. Grégoire se laissa glissé en arrière, tombant sur le dos dans la mousse encore confortable de l’objet. Une minute de réflexion passa. Le temps était comme arrêté quand il était là.
« J’apprécie ta réflexion, mais d’acte. Que fais tu ? Ana brisait le silence. J’examine ce que je crois voir pour comprendre que tu t’interrogeait là dessus. Tu as toujours préféré ignorer que de fuir attaché à ta machine. »
Il constatait les deux écrans cathodiques qui brillait sur le bureau de son hôte.
« Je déteste me dire que ta façon de parler pourrait être le résultat de mon inconscience. »
Il laissa tomber ses jambes en chavirant son corps pour s’asseoir de manière plus classique sur son canapé qui était tourné dos au bureau. Il continua de parler face au reste de la pièce.
« Bref, j’ai fais une trouvaille intéressante, intéressante pour toi, un autre gars sapiens m’a rapporté comme informations que des gens disparaissait. La seule constance dans ces disparitions qui ne semble être ni des fuites ni des kindapping semble être un jeu vidéo. Ça doit pas trop te parler à l’arbre de foire que tu es. »
Il fit une pause, tourna la tête de moitié pour voir qu’Ana fixait toujours les écrans, d’un regard trop vide. Grégoire se demandait s’il avait même entendue ce qu’il venait de dire. Dans le doute, il se leva, sa douleur au dos avec, tout en continuant à parler.
« Je me suis renseigné. Tu l’as dit, j’ai préféré tout ignorer via ces machines, elles sont biens meilleurs amantes que tout ce que tu m’as jamais présenté de ta non-vie. »
Il se dirigeait vers sa chaise, elle était à mi chemin entre cette perche de tatouages percé et ses précieuses amantes.
« Bon, j’ai continué à me renseigner, tenté de rencontrer des gens qui y ont joué. Rien, nada. Mon gars sapiens de tout à l’heure m’a rapporté un témoignage d’une nana dont le mec à disparu. Elle dit qu’il c’est volatilisé pendant qu’il installait ce jeu. Bref, des trucs qui foutent les flics dans la merde. »
Il leva le bras pour passer la main au plus prêt du visage d’Ana puis désigna son second écran allumé, il s’en retourna à son bureau, prit sa souris, cliqua quelques fois, pianota un peu et se retourna.
« Hey, voilà l’écran d’accueil. Je sais pas si tu me suis, si tu m’écoute, si tu es là, si on existe, mais c’est là que c’est intéressant pour toi. Le jeu représente quelque chose de profondément inconnu et de quasi mystique maintenant. J’ai arrêté de cherché depuis deux semaines vu que je me suis heurté à un bloc. Les infos étaient sérieuses, pourtant rien du code source dit que ce jeu est foncièrement différent des autres. Alors j’ai douté. J’ai réussi à faire jouer quelqu’un. »
Il s’arrêta un peu pour se ressasser de la personne, il n’était pas du tout attaché aux humains alors qu’il en était du même genre. Le destin commun était la fin de la vie et le début de la mort. Il n’avait aucune idée de ce qu’il en pensait réellement, mais ça ne le gênait pas d’avoir utilisé son « amitié » pour servir ses fins. Juste avant qu’il reprenne Ana se mit à rire. Il n’en prit pas compte, il riait sûrement d’un truc complètement con qui n’avait pas de rapport avec la situation, il continua.
« Enfin, je suis allez chez un gars que je connaissais pour lui faire tester le jeu sans vraiment lui informer de ce que je sais. C’est une histoire qui ne circule pas encore, c’est tout récent, et le peu d’infos que j’ai eu viens de ce gars que je te parle qui bossait sur le parc info d’un commissariat, donc j’ai réussi à le faire jouer… Devant moi il a disparu. Ca m’a valu des merdes de questions avec les flics mais bon, ils bloquent aussi, donc j’ai pas eu encore de retour. »
Il essayait de fixer les yeux absent d’Ana.
« Tu m’écoute merde ? - J’entends. »
Il souffla, il savait que c’était dur d’avoir un sujet de discussion avec lui qui ne portait pas sur sa non-existence chérie. Mais il savait qu’il y avait un rapport entre ce délire qu’il lui avait collé dans la tête quelques années auparavant et ce genre de truc mystique.
« Ce que je pense, c’est que c’est un autre plan, une preuve à la différenciation des plans et donc de l’existence d’une réalité. J’ai continué de cherché, de décoder après l’histoire du gars qui disparaît en se connectant au jeu, mais j’ai pas pu approfondir plus. Ce truc, tu dois l’essayer, je crois que c’est ça la réponse que j’attendais. Mais c’est aussi en contradiction avec ce que tu toi tu prône. Ta mère, tout ça, si il existe un autre plan et que le genre humain arrive à l’atteindre. Alors tu as faux. »
Ana se remit à rire.
« Grégoire, c’est souvent une source d’intérêt et de divertissement de t’écouter, ce que je prône n’est Rien. Tout ce qui est deviens faux en l’étant. Les différents plans, c’est mère qui en est à l’origine mais ça, ce n’en est pas. L’humain ne conçoit pas son existence aussi imperceptible pour nos sens que nos plans »
Il posa sa main sur la tête de l’hôte, celui ci ne bougea pas, il avait apprit à apprécier ce qui le ferait se détester.
« Ton doute porte une attention particulière à nos semblant de volonté. Il est pur, si j’existe c’est parce que tu me perçois. Mais tout ceci n’est que l’illusion, tu cherche la tendresse pour toi même. Mais ce n’est pas ça qui apportera ta réponse. Noie toi dans tes maux. Ce sont eux qui te font sentir vivant. Ce que tu aime malgré ton incapacité à accepter ceci comme ta vérité. »
Il le troublait, il avait perdu beaucoup de confiance en lui à cause de cet homme, mais ce qu’il lui disait le rassurait autant qu’il le brisait. C’était ça qu’il aimait, l’existence aurait pu être une maladie qu’il aimait la façon dont il la lui transmettait.
« Regarde ta réponse comme je la détruirait. Mère rejète cette prison qui s’enferme pour se rassurer. Montre moi comment disparaître, je te montrerais comment nous n’étions de toute façon pas ici. »
Grégoire sourit. Il n’en dormirait pas, il savait qu’il pouvait compter sur Ana pour lui rappeler à quel point voir autre chose que le présent était un gâchis. Il aurait sa réponse, il devra trouver la question à celle ci. Il tapota quelques choses sur le clavier puis recula avec sa chaise, laissant de l’espace devant le pc pour l’homme qui gisait sous un haut chapeau.
« J’aime quand tu pose une question à ces réponses que j’essaye de te donner à chaque fois. Je me brise en croyant que tu es ce que je suis mais tu le confirme toujours avec ta dureté de satin. Tape juste la chose que tu te sers pour te nommer sur ce clavier puis appuie sur cette touche là »
Il n’écoutait qu’à demi mot Grégoire. Il avait trouvé autre chose, il fallait rebondir sur chaque pic qu’envoyait la traîtresse à son encontre, le propriétaire de la machine était aujourd’hui le héraut de cette existence fourbe. Il tapa Ana Kimov après avoir mit du temps à trouver les lettres sur le clavier et valida.
...
Expliquez votre arrivée dans le monde de Cursed Dream, dans la zone de départ. (10 lignes minimum) ...
Qu'avez-vous fait ensuite ? Comment vous êtes vous sentit ? (8 lignes minimum) ...
Quel territoire vous attire le plus ? Pourquoi ? (3 lignes minimum) ...
et vous dans l'histoire | T'as quel âge ? 19.
T'es une fille ou un garçon ? Viens voir sous ma jupe.
Quel est le personnage de ton avatar ? Aucune idée mais il correspondait parfaitement (sauf la clope) à l'idée que je me faisais de mon personnage.
T'as débarqué en fusée sur le forum? Les escargots en apesanteurs m'auraient défait à la course. Mais plutôt en fraise.
T'en penses quoi ? J'aime le concept de GreedIsland, mais je pense qu'il y a matière à approfondir, mais le forum est jeune, faut laisser le temps à l'histoire de faire ses pas.
T'as lu la charte divine ? Yes, mais c'toi l'charte !
C'quoi le code maudit ? CODE VALIDE PAR THE KING. |
Dernière édition par Ana kimov le Mar 28 Mai - 21:48, édité 2 fois |
| | | J'ai rejoint les rangs de NeïthMessages : 129 Date d'inscription : 13/04/2013 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): 12%Age: 18 ans.Don: Piou-Piou ; apparition d'ailes. | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 15:07 | |
| - Bienvenue !
J'adore ton avatar, j'adore ton perso tout court d'ailleurs, ainsi que ta façon d'écrire. C'est beaucoup de compliment tout ça Oo; Bonne chance pour le fin de ta fiche :)
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| | | | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 16:28 | |
| Bienvenu sur le forum ! Et... et, oui, c'est très bien écrit but, you're a boy or a girl ? ee Ah bas ouais, c'est marqué "jupe", les écossais aussi ils mettent des jupes ! >.< |
| | | J'ai rejoint les rangs d' ÉriosMessages : 72 Date d'inscription : 12/04/2013 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): 3%Age: 19 ansDon: Hermaphrodisme | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 17:35 | |
| God, tu me fais penser à un mec d'un autre fo' à ta manière d'écrire. Bref. Ton perso est badass. Bienvenue. |
| | | J'ai rejoint les rangs de NeïthMessages : 179 Date d'inscription : 04/01/2013 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): 12%Age: 16 ansDon: Contrôle du temps | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 17:37 | |
| Bienvenue ici ! Préviens-nous lorsque tu auras fini ta fiche. (Je n'ai pas envie d'être répétitif, mais ta manière d'écrire est superbe). |
| | | J'ai rejoint les rangs d' ÉriosMessages : 23 Date d'inscription : 13/02/2013 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): 15 %Age: Quatorze ansDon: Écriture céleste ▬ Permet d'écrire dans les airs, les écriture prennent différents effet. | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 26 Avr - 19:49 | |
| Bienvenue parmi nous ^w^ Je suis tout à fait d'accord avec tout le monde, ta manière d'écrire est sublime *w*
Sinon... Je ne sais pas si ça peut être utile, mais je crois que ton avatar, c'est Mephisto Pheles d'Ao no Exorcist x) |
| | | Messages : 32 Date d'inscription : 15/04/2013 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): 0%Age: 24 ansDon: Télékinésie | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Sam 27 Avr - 20:39 | |
| Eheh bienvenue ! Ton perso rox trop de la mort qui tue !! J'ai hâte de lire l'histoire et comme tout le monde l'a déjà dit, tu écris super bien, c'est un truc de fou *o* (et je veux un rp !) Bonne chance pour la suite ~ ♥ |
| | | J'ai rejoint les rangs de NeïthMessages : 197 Date d'inscription : 16/06/2012 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): Pour le moment 30%Age: 18 AnsDon: Matérialisation des dessins | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Ven 3 Mai - 7:36 | |
| Des nouvelles pour cette fiche ? |
| | | Messages : 4 Date d'inscription : 15/04/2013
| Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Dim 5 Mai - 21:15 | |
| Bonjour, oui, j'aurais besoin de plus de temps, pas mal de petit soucis irl. :/ |
| | | J'ai rejoint les rangs de NeïthMessages : 197 Date d'inscription : 16/06/2012 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): Pour le moment 30%Age: 18 AnsDon: Matérialisation des dessins | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Lun 6 Mai - 15:23 | |
| Aucun problème. Un délai de 15 jours te suffiras ? |
| | | Messages : 4 Date d'inscription : 15/04/2013
| Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Mar 7 Mai - 17:08 | |
| Je pense. Merci beaucoup ! (: |
| | | J'ai rejoint les rangs de NeïthMessages : 197 Date d'inscription : 16/06/2012 Qui suis-je ?Maîtrise du don (en %): Pour le moment 30%Age: 18 AnsDon: Matérialisation des dessins | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos Mar 7 Mai - 20:20 | |
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| | | | Sujet: Re: Ana Kimov, l'eau du chaos | |
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| | | | Ana Kimov, l'eau du chaos | |
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